Le Gouvernement provisoire kabyle à la mairie du 16e arrondissement de Paris, le 11 janvier 2011 (Photo : Uli Rhode - SIWEL)
Ce colloque est organisé conjointement par l’Anavad (Gouvernement provisoire kabyle) et le Haut conseil à la diaspora kabyle (HCDK) à l’École supérieure de gestion (ESG), 25 rue Saint-Ambroise, Paris 11e. arrondissement.
Quatre tables rondes sont prévues autour de deux axes essentiels, l’histoire et la politique.
Dans l'atelier dédié à l'histoire, les participants traiteront des thèmes de « la France et la Kabylie dans la colonisation » et « les Kabyles en France depuis l’indépendance de l’Algérie ». L'atelier traitant du volet politique est consacré au « particularisme kabyle et la France » ainsi que de « la laïcité en France et les Kabyles ».
« Ces rapports sont encore trop méconnus, quand ils ne sont pas du domaine du tabou. Remontant au moins à 1830, ils ont été, de part et d’autre, empreints à la fois de défiance que d’admiration réciproque. La Kabylie ayant sombré dans l’Algérie indépendante, le regard français sur les Kabyles a vite fait d’assimiler ceux-ci aux Nord-Africains, aux Arabes, aux musulmans, aux Berbères ou aux Algériens. Comme par une convention tacite, l’idéologie et la politique, s’interdisent de parler des Kabyles. Depuis le danger islamiste en France, leur cas embarrasse et inquiète autant qu’il séduit et rassure », indique le Haut conseil à la diaspora kabyle.
Le comité préparatoire du colloque a fait appel à contribution et à participation pour toutes les compétences intéressées par le sujet en adressant les candidatures à : rapports.franco.kabyles@kabylie-gouv.org
ysn
SIWEL 241338 FEV 11
Quatre tables rondes sont prévues autour de deux axes essentiels, l’histoire et la politique.
Dans l'atelier dédié à l'histoire, les participants traiteront des thèmes de « la France et la Kabylie dans la colonisation » et « les Kabyles en France depuis l’indépendance de l’Algérie ». L'atelier traitant du volet politique est consacré au « particularisme kabyle et la France » ainsi que de « la laïcité en France et les Kabyles ».
« Ces rapports sont encore trop méconnus, quand ils ne sont pas du domaine du tabou. Remontant au moins à 1830, ils ont été, de part et d’autre, empreints à la fois de défiance que d’admiration réciproque. La Kabylie ayant sombré dans l’Algérie indépendante, le regard français sur les Kabyles a vite fait d’assimiler ceux-ci aux Nord-Africains, aux Arabes, aux musulmans, aux Berbères ou aux Algériens. Comme par une convention tacite, l’idéologie et la politique, s’interdisent de parler des Kabyles. Depuis le danger islamiste en France, leur cas embarrasse et inquiète autant qu’il séduit et rassure », indique le Haut conseil à la diaspora kabyle.
Le comité préparatoire du colloque a fait appel à contribution et à participation pour toutes les compétences intéressées par le sujet en adressant les candidatures à : rapports.franco.kabyles@kabylie-gouv.org
ysn
SIWEL 241338 FEV 11
Augmenter la taille du texte
Diminuer la taille du texte
Partager
La ligue algérienne de défense des droits de l’homme organise une conférence contre l'athéisme